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La petite Mu qui plume
30 octobre 2011

Chroniques de San Francisco

"- Je ne suis pas trop pénible ?
- Pas du tout.
- J'ai pensé à faire couler son écuelle dans du bronze, en souvenir.
- Comme c'est touchant !
- Tu sais à quel point je hais les femmes qui deviennent hystériques à propos de leur chien... Mais Faust était... mais Faust est...
Sa voix faiblit."

Ca y est, je m'y suis lancée, dans cette fameuse saga. Avec beaucoup d'années de décalage par rapport à ma mère et aux amies qui m'en avaient parlé, mais j'aime faire les choses avec décalage. 
Je disais il y a peu que je n'étais pas tout à fait convaincue. C'est vrai, j'ai mis un moment à entrer dans l'ambiance. Beaucoup de dialogues, un style très basique, il faut quand même le dire. Mais, en effet, comme on me l'a fait remarquer, on ne lit pas cette saga pour le style. Et j'avoue qu'avant la moitié du livre, j'ai été accrochée. Certes, les coïncidences et les rencontres entre les personnages sont parfois téléphonées : cela dit, j'ai eu quelques vraies surprises dans le dernier tiers du roman. Mais il reste qu'on s'attache effectivement aux personnages et qu'on finit par se prendre au jeu de "qui va rencontrer qui ?". Avec quelques émotions à la clé lorsqu'il s'agit d'en quitter certains.
Au final, je n'ai bien sûr plus qu'une envie : lire au plus vite le deuxième volume, car à la fin du premier, le suspense bat son plein. J'ai ma petite idée sur certaines énigmes, mais pour d'autres, je donne ma langue à Boris - le chat de la maison. 

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Le royaume de Kensuké

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