Concours : gagnez "Une ardente patience", d'Antonio Skarmeta
Le Printemps des Poètes 2013 rendait hommage à Pablo Neruda, à l'occasion des 40 ans de sa disparition.
Dieu sait que cet auteur m'a fait suer sang et eau lorsque je travaillais - plus ou moins - son Chant Général, pour l'agrégation. Mais, de Neruda, j'ai en fait un souvenir plus ancien, celui d'un petit roman lu quand j'étais collégienne : Une ardente patience, dont le film Il postino (Le facteur) est l'adaptation.
C'est l'histoire (fictive, du moins je suppose) d'un facteur résidant sur l'Île Noire, au Chili, et n'ayant qu'un seul véritable habitant à livrer, mais pas des moindres : Neruda, bien sûr. De la poésie, Mario Jimenez, notre facteur, ne connaît rien. Mais comme il a bien envie de séduire la donzelle Beatriz, il viendra prendre quelques cours d'écriture et d'élocution auprès de l'écrivain.
Il y a tout dans ce court ouvrage : de l'amour, de l'Histoire, beaucoup, beaucoup d'humour, et de la poésie, bien entendu. Et pas toujours là où on l'attendrait. Mario est un personnage extrêmement attachant pour lequel Pablo Neruda, mais aussi Skarmeta, on le sent, ont beaucoup de tendresse.
C'est un livre lumineux, intense, malin, gourmand (oui, j'ai regardé Top Chef, lundi soir), et j'avais très envie de vous l'offrir. Il est pour moi une porte d'entrée très agréable vers l'oeuvre de Neruda, ses poèmes mais aussi ses beaux (et longs...) discours, prononcés en diverses occasions.
Alors, voilà, je l'offre !
A qui ? A celui ou celle qui saura me dire, en cinq phrases (pas une de plus, pas une de moins), pourquoi je dois continuer ce blog.
Oui, oui, fayotez, n'ayez pas peur, c'est ce que je vous demande ! Héhé. Cinq bonnes raisons, ou moins, mais joliment écrites et argumentées, pour que je conserve ma motivation !
J'enverrai le cadeau au message le plus convaincant et je publierai les autres messages sur mon blog.
Envoyez-moi ça en cliquant ici . Vous avez une semaine, jusqu'à mercredi 10 avril, minuit !